jeudi 31 janvier 2013

Mets de l'huile: carnet de bord de ma coloscopie

20h10: premier verre sur 18, et oui cette fois ci j'ai 3 litres à boire en 3 heures d'une solution pour purger, et un autre litre le lendemain matin, j'ai donc fait le calcul qu'à raison d'une choppine toutes les 10 minutes, j'étais bonne...

20h26: à la bourre, deuxième verre, merde, j'ai déjà du mal à avaler, je prends place sur mes toilettes.

20h40: j'appelle ma mère au téléphone pour de la compagnie, je lui explique la difficulté que j'ai à terminer ce premier litron et dans un élan de compassion, elle me raconte que c'était une torture au moyen âge de gaver les gens d'eau, je lui somme d'arrêter son récit: ça me fout mal au coeur.



21h10: merci à Homeland épisode 3 saison 1 de prendre un tournure hyper intéressante, et de me distraire suffisament pour me faire presque oublier que je suis coinçée au chiotte, grelottante, nauséeuse, et aussi glamour qu'une bique avec une robe de soirée...
22h, 23h, 23h30, après être passée par toutes les couleurs, enfin je me couche, le bide vide, le corps lessivé et le cul en choux fleur, ami(e)s poètes bonjour.

5h30: rebelotte cependant presque heureuse de n'avoir qu'un litre à ingurgiter.
8h45: départ sur les chapeaux de roues, grâce à un changement de plan de dernière minutes, l'homme préfère faire à sa façon, on dépose p'tit loup au centre de loisirs.

9h15: arrivée à la clinique après au moins 3 sujets de discordes avec l'homme, ça n'a jamais été mon meilleur coach anti stress (je ne te raconte pas sa gestion il y a presque 4 ans, de mes contractions pre partum, j'avais envie de lui arracher la tête avec les dents).

9h20: prise en charge assez rapide; passage aux toilettes en urgences, puis me voilà dans ma chambre aussi accueillante qu'une cellule de Shawshank. L'homme part, l'infirmière finit son questionnaire et me demande si ça va aller.

Elle quitte la chambre...

Je tente de regarder mon épisode 7, histoire de penser à autre chose, et je suis très vite interrompue par un brancardier venu me chercher, je me désape en trois secondes, manque de confondre les chaussons avec la charlotte, et me voilà dans le couloir, ultra consciente, et allongée, pour une balade jusqu'au bloc.
Le sympathique brancardier me parque en rang d'oignons (c'est le cas de le dire) à la cours des miracles, à côté de 2 autres compagnons d'infortune en attente, 

comme si j'avais le choix
Je papote, une de mes voisines s'en va, je pleure, je repapote, et puis c'est mon tour.

10h20: on m'emmène dans le bloc, une jeune fille qui doit faire son stage de 3ème sort ce qui va sous peu visiter mon intérieur (elle doit le tenir par le milieu le bras tendu au dessus de sa tête, je te laisse imaginer la longueur de ce machin). L'anesthésiste se présente, je lui dis d'emblée que je suis hyper angoissée, il me dit de me détendre (ra les hommes), ma gastro arrive, leur dit:"vous avez vu comme mes patients sont souriants ce matin", la jeune ajoute "et angoissés", ma doc m'interroge du regard et je lui dis que oui, je flippe grave. L'anesthésiste me propose de penser à quelque chose d'agréable, j'avoue que la première image qui m'est venue n'était pas de circonstance ;p je lui demande donc de m'aider. Il me dit de penser à des vacances, et là je dis "ah non, à chaque fois on s'engueule avec mon mec en vacances", la doc rit et me dit "bein avec des copines alors", je la remercie, je visualise: un spectacle de danse aux states, et plein de trucs sympas, que l'on pourrait faire avec mes copines.
L'anesthésiste me met la perf, bilan pas mal (dixit la pro), et le temps de lui dire: "c'est normal que ça tournnnnnnnnn"

PLUS RIEN

Je me réveille d'un coup comme si le black out n'avait duré qu'un instant, je suis dans une salle entourée d'autres personnes, je m'entends dire un truc, et je me mets à pouffer de rire (j'ai du m'en raconter une que je ne connaissais pas), puis j'ai eu  un fou rire de plus en plus sonore, une infirmière acariatre me demande de baisser d'un ton.
Et puis je me mets à chanter "what's up" de"four non blondes":

And so I cry sometimes
Et ainsi je pleure parfois
When I'm lying in bed
Quand je suis dans mon lit
Just to get it all out
Simplement pour évacuer
What's in my head
Les pensées qui sont dans ma tête
And I am feeling a little peculiar
Et je me sens un peu bizarre
And so I wake in the morning
Et ainsi je m'éveille le matin
And I step outside
Je mets le pied dehors
And I take a deep breath and I get real high
J'inspire profondément et je me sens planer
And I scream at the top of my lungs
Et je crie à pleins poumons
What's going on ?
Que se passe t'il ?
And I say, hey hey hey hey
Et je dis, hey hey hey hey
I said hey, what's going on ?
Je dis hey, que se passe t'il ?

je pleure, bref du grand moi...



Je me ressaisis, je réalise que tout cela est enfin terminé

Je retrouve ma gouache, je bouge une main puis l'autre, vire mon truc à oxygène qui me gratte de pif, fais coucou à un brancardier avec qui j'avais parlé, ainsi qu'à ma copine de stand by, je suis bien bien réveillée, le staff me relaxe.

11h45 et des prouts: i'm back in my room.

12h: la doc passe me voir me dit que je ne suis pas guérie (sans blague j'ai une maladie chronique, et je le sais depuis 2002), anyway, elle me dit que si je n'étais pas aussi rondouillarde elle me remettrait sous cortisone




Tu sais ce qu'elle te dit la rondouillarde,
Non mais oh!!!!


Hormis ça, pas de polypes donc méga giga cool, je suis en vie!!!!

13h30: j'ai grave la patate, rien à voir avec les anesthésies précedentes où ma langue pendait hors de ma bouche, tellement j'étais shootée.
 Mon amie Cé vient me chercher, on passe un super moment, on a traîné, on a été au Jap' car comme elle me l'a dit "si l'homme te voit avec une telle énergie,  il va te demander d'accompagner p'tit loup chez l'orthophoniste et de passer l'aspi sous le canapé, tandis que lui ferait la sieste".
Elle est drôle ma Cé, mais dans le doute, quand nous sommes revenue à l'appart', j'ai fait la fille méga fatiguée en m'étendant sur le canapé lorsque nous avons entendu la clé dans la porte, (je vais sans doute me voire décerner l'oscar de la meilleure actrice).

16h: retour de bambou, énorme envie de dormir devant Dino train, et mal de crâne.


Hier matin retour au taf, tout ceci est derrière moi (hihihi) et  je suis tranquille pour 2 ans...

Easy en fait ;p

 Bisous mes petites tartines de Lemon curd et merci pour votre soutien

mercredi 30 janvier 2013

My life


Et voilà exactement pourquoi je ne fais pas de sport



Sorry je suis grave à la bourre pour vous raconter mes folles aventures "coloniales", je suis sûre que vous attendez que ça petits coquins ;) (enfin ça me fait du bien de le croire)
 je me dépêche promis juré je vous fait ça aux petits oignons ;)


mardi 29 janvier 2013

Et ouais...






So fuckin true ;)


Gros bisous et à demain pour mes récits so glamours d'endoscopie 

PS: d'ailleurs si quelqu'un peut me dire de quel film ou série sont extraites ces images,  je l'ignore

vendredi 25 janvier 2013

Tout le plaisir de l'amour est dans le changement

En tout cas c'est ce que Molière pensait.

J'ai souvent entendu ma maman alias Confucius, dire qu'un homme épousait une femme dans l'espoir qu'elle ne change pas, et qu'une femme épousait un homme dans l'espoir qu'il change.
Jusqu'alors je n'avais prêté à cette phrase qu'une dimension physique, et je n'avais pas pleinement compris la justesse de son ampleur.

Je m'explique, la plupart de nos disputes à l'homme et à moi, finissent comme ceci:
Lui: "Depuis que tu es devenue mère tu as vachement changée"
Moi: "Tu es père maintenant va falloir te sortir les doigts du ..."
Bon c'est très grossièrement résumé mais ça y ressemble un peu.

Et puis hier, j'étais au téléphone avec mon amie Cé. et je lui ai dit que en fait l'homme avait raison et que j'avais changé.
Elle m'a dit "bein oui on a changé, et tant mieux, car si ils croient qu'on va les attendre les 4 fers en l'air, en roulant un joint, ils se mettent le doigt dans l'oeil".
J'ai beaucoup ri, et bien que la vie de Cé. avant d'être maman était hautement plus Rock and roll que la mienne, j'ai trouvé sa phrase lourde de sens.

Et oui comment peut on penser ne pas changer en devenant maman, on a un petit être qui dépend de nous, ce sentiment de liberté que l'on avait avant s'envole instantanément, et ce sans regret je vous rassure, ou si fugace.
C'est ainsi, nous ne sommes plus la personne à sauver en cas de danger, la personne pour qui on réfléchit à l'avenir, la personne pour qui on rentre chez H et M ;) c'est un constat à la fois grisant et à la fois flippant.

Je ne dis pas que le changement est de la même intensité chez toutes les femmes, je sais aussi que certaines mettent un point d'honneur à ce que leur vie change le moins possible, mais je ne pense pas trop me tromper en disant que toutes ont ressenti la différence.



Donc, oui, mon chéri j'ai changé, je me couche moins tard parce que je suis fatiguée, je ne vais plus trop aux soirées ni au ciné, tu me trouves moins "olé olé caliente Shakira", mais j'ai pourtant l'impression d'être tellement moi, une moi différente mais pareille, difficile à expliquer tout ça.



Bisous mes loupi loupiot(e)s et bon week end.

PS: j'ai choisi une image de Gigi, héroïne télévisuelle de mon enfance qui en connaissait un rayon côté transformation.

mercredi 23 janvier 2013

La liberté des uns... ou le récit un peu long de celle qui a bien failli se fighter avec son voisin

Voilà hier soir alors que nous venions de finir de dîner comme les poules vers 18h45, mon fils, ma mère et moi, et que nous faisions un peu les fous avec mon p'tit loup, entends par là que nous avons dansé 3 pauvres minutes 30 , ma maman me dit : "ça a frappé à la porte"...


Quelle ne fut pas mon énervement de découvrir par le judas, mon voisin du dessous fraîchement installé depuis 3 mois qui s'était déjà illustré plusieurs fois par des coups de balais très amicaux au plafond.

Je sais bien que la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres, et vice Versailles, mais là mon sang n'a fait qu'un tour.
Car voilà il était 18h45, et les anciens coups de balais, avaient été donnés à 17h!!!!

Je lui ai donc laissé en placer deux, puis je me suis mise en mode Bree Van de Kamp à qui on vient d'écraser une rose.
Lui signifiant, que j'en avais marre de penser à lui, à chaque fois que petit loup s'agitait un peu trop, ou que nous avions le malheur de faire tomber un truc par terre.

Il arrive à glisser qu'il y avait eu un mieux un moment et qu'il avait pris sur lui jusqu'à lors, pour ne plus taper au plafond ( normal on parti presque 2 semaines).
Il me dit que lui il marche sur la pointe des pieds pour ne pas déranger ceux du dessous et que quand ils étaient enfants, ses frères et sœurs et lui, ils ne dérangeaient jamais les voisins.
Je lui dis que je ne peux pas cantonner mon enfant de bientôt 4 ans sur le canapé, que l'immeuble a été construit sur les modèles HLM ,qu'il n'y a pas de fucking isolant au sol et que nous mêmes entendons les enfants du dessus courir, jouer, faire de la trottinette, mais que cela ne nous dérangeait pas le moins du monde, que ce sont des enfants et tout comme chez nous vers 21h dernier carat il n'y a plus de bruits.

La colère me monte au visage quand il sous entend que parfois ils se demandent avec sa compagne de 22 ans, si nous le faisions pas exprès, je l'interromps et  je lui ai dit: "je vous arrête tout de suite, pas de paranoïa nous avons nos propres problèmes et même si vous faites malheureusement partis de mon quotidien, je ne nourris envers vous aucune sorte de vendetta."

Il me dit qu'avec sa compagne ils réfléchissent à quoi les bruits peuvent correspondre, que l'autre fois ils ont identifié un sac de billes. Raté p'tit loup n'a pas de billes.
Quand je sens que son ton tourne à vous n'auriez qu'à serrer la vis, je lui éructe ceci au visage, (je me demande encore ce qui m’a pris de lui asséner cette info):
« voilà je vais vous dire quelque chose que je n’ai pas spécialement à vous dire mais notre petit garçon présente un gros retard de langage et de compréhension, et croyez le ou non on lui parle souvent de vous, mais c’est loin d’être évident tous les jours, alors oui, nous vous respectons, mais nous vivons ici aussi, et on ne peut pas se couper les jambes pour votre mieux être »

A ce stade, il s’est produit une chose étrange, il a semblé être touché.

Il a commencé à se confier à moi, à me raconter qu'il avait mal au ventre depuis son enfance, que c’était un grand nerveux, qu’il faisait des horaires en 3/8 et qu’il avait un rythme tout décalé, d’où les coups de balais à 17h, qu’il s’était réveillé un jour à 24 ans et qu’il était devenu vieux (il en a 32), que sa copine veux un enfant mais que lui il ne veut pas, du moins pas tout de suite, qu’il a peur de reproduire ce que sa mère avait fait avec eux, et qu'il ne supporterait pas d'avoir le modèle tornade, bref un flux d’infos persos, que telle une psy, j'ai accueilli, sauf que là pas de divan, mais un pas de porte avec p’tit loup qui tournait autour de moi, à qui je disais:« tu vois ça c’est le monsieur qui tape au plafond, il est pas content ».

Je fais de l’écoute active, je compatis, je lui glisse même une astuce pour le moment où ils commencent à se demander ce qui peut générer ce bruit, je lui propose pour éviter de se monter le bourrichon, de faire l’amour avec sa compagne (hihihi je suis le diable), il a souri, séduit par l’idée mais il me dit que c’est sa compagne que je devrais convaincre.

Il me parle encore et encore, j'arrive à lui expliquer à mon tour que rien n’est forcément comme il paraît être, que j’espère que cette conversation aura au moins servie à lever tous sentiments de parano.
Il a fini par regarder sa montre, 45 minutes venaient de s’écouler, fin de la séance.


Là mon voisin se penche vers p’tit loup et lui dit « je m’appelle A. et toi comment tu t’appelles ? » et puis à lui même: "ah non il faut que je me mette à ta hauteur (merci à toi oh feue super nanny)" et je lui explique que p’tit loup ne lui répondra pas car il ne sait pas répondre à cette question.
De nouveau, il a pris son air désolé et s'est excusé d'une remarque qu'il avait faite, il y a quelques temps, à p'tit loup et à sa mamie Icole dans l'ascenseur, si il avait su, il n'aurait pas dit ça, toussa toussa...
Il lui dit: "tu sais je ne suis pas un méchant, tu pourrais venir jouer à la maison avec ma petite nièce si tu veux, elle a 5 mois cela dit c'est peut être encore petit: 5 mois" (sans blague, à ce stade cela me confirme sa méconnaissance totale des enfants).

Puis enfin il est parti.







Ma mère qui avait tout suivi à bonne distance a juste halluciné... car en fin de compte cette conversation était vraiment bizarre et lui aussi!!!





Je comprends qu'un enfant de 4 ans qui déambule et joue souvent sur le sol,  peut être bruyant et dérangeant pour un couple tranquille, je ne sais pas si j'ai bien réussi à vous le dépeindre, mais mon voisin me paraît un poil spécial, non????

PS: en bonus un petit extrait de mon film de voisinage préféré




et rePS: il a proposé d'emmener p'tit loup faire du VTT avec lui pour le fatiguer, un peu chelou le type quand même...

lundi 21 janvier 2013

j'y vais mais j'ai sacrément peur (attention article avec glam's et paillettes dedans)

Voilà comme ce blog est à vertu thérapeutique (ayant laissé tomber mon journal depuis que je vis en couple), je vais aujourd'hui encore, te raconter ma trépidante life, et n'hésite pas à commenter au toi gentille ou gentil lecteur car j'ai sacrément besoin de soutien.
Sans plus attendre je lève le suspense, je vais vous confier ce truc qui me terrorise:
 le 29 janvier je vais devoir faire une coloscopie.


Je repoussais depuis janvier dernier ma prise de RDV en mode autruche, mais cela fait 5 ans que j'ai subi passé la dernière en vue d'arrêter mon traitement afin d'avoir p'tit loup, et il était convenu que je devrais à partir de mes 35 ans (VDM), faire tous les 2 ans cette foutue analyse. Donc nous y voilà , étant née en 77, mathématiquement,  je ne peux plus y échapper, le couperet est proche.

Vous me direz, (si si je vous entends presque), "c'est hyper banal comme intervention", "il n'y a aucun risques", mais voilà c'est plus fort que moi : je flippe...

Ce n'est pas tant boire ces 4 litres de solution salée limite vomitive, de monopoliser les toilettes afin de me vider comme un bique "dysentrique" de toute la crotte que je contiens, ni même l'idée qu'une camera longue de plus d'un mètre va entrer en moi, toussa toussa, mais plus this fucking anesthésie, euh je rectifie, "sédation" car voilà je perds le contrôle, ils peuvent faire ce qu'ils veulent de moi.

 Passer aussi cette irrationnelle idée d'un potentiel brancardier/infirmier à la Kill Bill, et le fait que les médecins puissent m'enlever ou m'abîmer quelque chose, ce qui me tétanise c'est l'idée de me laisser aller, de ne plus lutter.
J'aimeuh pas ça du tout...
 Le rire étant la politesse du désespoir, certain(e)s d'entre vous l'auront peut être compris: je suis une hypersensible un poil angoissée, et que par ailleurs je me suis construite une telle carapace que si on lève cette barrière à coup de médocs et autres drogues, je crains de m’effondrer et de faire comme la dernière fois.
Et oui je me suis lourdement illustrée lors de la dernière colo, je me suis réveillée en hurlant comme une folle, "détachez moi, détachez moi", une gentille infirmière m'a d'abord signifier que je n'étais nullement attachée (awkward), et ensuite elle a sorti sa corde psychologique pour me demander si je vivais quelque chose de traumatisant en ce moment familièrement parlant, car j'avais l'air très pertubée, ensuite un infirmier s'est approché de moi et je lui ai dit de ne pas me regarder pleurer car j'étais laide et lui "si beau".
Bref!!!!
Je voudrais arriver à désacraliser ce truc, à le rendre drôle, anodin, y aller en sifflotant "it's raining men" (chanson qui m'a toujours mis la patate et qui représente pour moi, va savoir pourquoi, le summum du  girl power), pour que cette boule, celle qui se loge sous mon plexus solaire à l'heure où je vous écris, diminue et que j'y aille le cœur léger comme dans une comédie musicale.


 Enfin voilà,  tout ça pour dire que , je vais passer une coloscopie...


samedi 19 janvier 2013

When Harry Met Sally... | "The Wagon Wheel Coffee Table"

Petit clin d'oeil à un de mes films cultes, et aux complexités "couplesques" bon week end mes petites barres chocapic


mercredi 16 janvier 2013

a real pageturner*


Moi, avec la trilogie Hunger Games





suis complètement à  donf, même avec mes 2 arrêts de métro, je sors le bouquin, mes 30 secondes de solitude maternelle pipicaca, je le sors, bref j'attaque le tome 3 et ça faisait longtemps que je n'avais pas dévoré un livre comme ça

*Ce que j'aime avec l'anglais c'est qu'il y a souvent des expressions pour dire en un mot ce que nous dirions en beaucoup de mots

mardi 15 janvier 2013

Gym Tonic


Samedi, j'ai été chercher un colis chez la gardienne:




a-t-elle demandé avec un regard appuyé en direction de mon ventre....






Bref lundi c'était hier et c'est pas gagné gagné :s

lundi 14 janvier 2013

Celle qui se posait des questions bien trop existentielles

Mardi soir,
 quelque part dans mon lit,
cette question qui m'avait quittée depuis 2 ans,
est revenue me hanter...



`








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Et oui dilemme cornélien pour moi, La nouvelle Star a repris cette année, et comme à chaque fois que je regarde des castings, je me demande encore et encore quelle chanson je pourrais bien choisir.

PS: bon je vous le concède, c'est vraiment pas d'une importance capitale, mais comme ça, ça m'empêche de penser trop à de vraies questions existentielles, et repousse ainsi  mes réelles préoccupations, une sorte d'arme anti angoisse en fait ;p


Et vous, mes petits escargots de Lanvin, qu'est ce que vous choisiriez comme chanson?



jeudi 10 janvier 2013

life is a bitch 2



En fait, ce n'est pas très compliqué d'être à la mode des djeun's...


Il suffit de se laisser aller aux bonnes choses de l'hiver!!!!





Hauts les coeurs, ce n'est pas encore la chandeleur ;p

mardi 8 janvier 2013

Hier, j'ai testé pour vous...


 ... Prendre un RDV pour ma maman, au cabinet d'Imagerie Médicale,








et bien j'y suis EN-COOOOOOOOO-RE


bonne fin de journée mes loulilou(te)s

PS: oupsi oups, j'ai oublié de colorier mon oreille droite :s sorry

lundi 7 janvier 2013

Un tigre ne perd pas ses rayures




 Mue par mes résolutions toutes fraîches de nouvelle année, une idée économique a germé dans ma petite caboche: faire de la gym à domicile ( à base de je pousse les meubles, et je mate une vidéo de Jane Fonda sur Youtube), du coup j'ai proposé hier à mon amie Cé. de se joindre à moi, tout en lui expliquant le concept...



















Bein ouais quoi, faut bien reprendre de l'énergie ;)

Bisous à tous et toutes.

jeudi 3 janvier 2013

Le chaînon manquant













Je m'abstiendrai de tout commentaire type "la vérité sort de la bouche" car ma belle mère est bien plus jolie, mais je vous avoue que nous avons tous beaucoup ri, je crois néanmoins que petit loup est parti sur les traces de son père question délicatesse, je suis mal barrée :s

Re Bonne année mes petits Kit kat à la menthe de chez Mark et Spencer



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